Le Concert de la Loge et Julien Chauvin concluent leur aventure Haydn et leur intégrale des Symphonies "Parisiennes" avec les No. 84 et No. 86. Le chef et son orchestre sur instruments d'époque complètent le programme avec le Stabat Mater, une œuvre rarement interprétée bien qu'elle fut l'une des plus jouées du vivant du compositeur.
Composé en 1767 en plein "Sturm and Drang", le Stabat frappe par la sobriété de son expression et son caractère contemplatif (« Fac me vere tecum flere »), sans exclure toutefois des moments où la musique approche le sublime, comme dans le « Sancta Mater, istud agas ». En compagnie du brillant Ensemble Aedes, sous la direction de Mathieu Romano et d'un casting de jeunes talents d'exception, Le Concert de la Loge ferme le rideau avec une cerise sur le gâteau ! © Aparté Music